Les Libertines ne lâchent pas leur rêve américain. Les interprètes du tube "Run Run Run" connaissent le succès dans leur pays natal, le Royaume-Uni, depuis plus de 20 ans, et les luttes contre la toxicomanie et les problèmes juridiques du cofondateur Pete Doherty, bien documentées, les ont empêchés de se rendre aux États-Unis. Mais maintenant que le rocker de 45 ans est clean, ils espèrent avoir l'occasion de promouvoir leur nouvel album, "All Quiet on the Eastern Esplanade", de l'autre côté de l'Atlantique. Carl Barat, l'un des membres du groupe, s'est exprimé pour nos confrères de The Sun sur le sujet.
"Le problème, c'est que Pete y est interdit depuis 20 ans. Nous ne savons pas ce que nous valons en termes de billets, cela pourrait être le Madison Square Garden ou un bar local. Mais nous espérons, surtout avec les progrès de Pete, nous y rendre et le découvrir".
Malgré les difficultés pour s'exporte le groupe vit très bien et très équilibré comme le racontait le même Carl Barat à l'occasion de la sortie du single "Oh Shit", en mars dernier.
"Nous nous sommes beaucoup concentrés et chacun s’est efforcé de trouver sa propre place dans le monde. Tout le monde a des vies très différentes et nous avons réussi à trouver quelque chose qui nous unit. C’est la raison pour laquelle The Albion Rooms a été un véritable atout : il s’agit d’un lieu en briques et en mortier, dont tout le monde est copropriétaire. On a l’impression que cela fait partie de ce voyage qui dure depuis un certain temps déjà."